Deux cas de figure

1. Un projectile percute un individu. Il atteint une partie articulée du corps et la mobilise bien au delà de la mobilité physiologique (exemple: recevoir un coup de poing ou un ballon de football dans le visage).

2. Dans ce cas au contraire c'est l'individu qui est en mouvement et qui percute brutalement un obstacle (exemple: un bébé qui tombe de sa chaise, une chute de cheval ou de vélo, collisions diverses).

Dans les deux cas évoqués, l'articulation subit une force extérieure que les muscles et tissus périphériques articulaires protecteurs n'ont pu ni contrer, ni contrôler ni amortir.

Remarque

Le muscle, premier protecteur de l'articulation, n'a pas pu la protéger pour deux raisons principales :
• Le temps écoulé entre l'application de la contrainte (le choc) et la réaction musculaire a été trop long.
• Le muscle, grâce aux propriocepteurs, a réagi à temps mais sa puissance réactive ne fut pas suffisante pour contrer la trop importante force extérieure.

 

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